Histoire de la promesse
1.08.04 - « [La CAQ promet] un mandat renforcé pour l’Office de la langue française afin de coordonner un vigoureux effort de francisation au Québec. »
25-mai-2022
« La réforme caquiste de la loi 101, adoptée mardi à l’Assemblée nationale, modifie une vingtaine de lois et règlements. Voici les répercussions qu’elle aura au « jour un », puis lors des années à venir. […] En 2025, les entreprises de 25 employés ou plus devront communiquer en français avec tout travailleur qui le demande. Elles auront aussi l’obligation de démontrer à l’Office québécois de la langue française (OQLF) que la langue de Molière y est utilisée de manière « généralisée ». »
Ce que la «loi 96» modifie… et quand-Le Devoir
24-mai-2022
Le projet de loi 96 est adopté.
22-mars-2022
« La protection de la langue française est une préoccupation importante pour la nation québécoise. Dans le cadre du budget 2022-2023, le gouvernement prévoit des investissements totalisant 24,9 millions de dollars sur cinq ans, soit : — 16,9 millions de dollars pour renforcer le statut du français; — 8,0 millions de dollars pour accroître le rayonnement et la vitalité du français. »
22-mars-2022
« La protection et la valorisation de la langue française, seule langue officielle et commune du Québec, est une responsabilité historique du gouvernement du Québec. Conséquemment, une des priorités du gouvernement est d’agir pour renforcer le statut du français. À cet égard, le budget 2022-2023 prévoit une somme de 16,9 millions de dollars sur cinq ans, soit : — 14,4 millions de dollars pour mettre en œuvre le projet de loi no 96, Loi sur la langue officielle et commune du Québec, le français, soit 5,4 millions de dollars pour l’Office québécois de la langue française et 9,0 millions de dollars pour le ministère de la Langue française; — 2,5 millions de dollars pour approfondir les connaissances sur la situation linguistique au Québec par l’Office québécois de la langue française. Cette somme s’inscrit en continuité des investissements additionnels déjà annoncés en faveur du renforcement du français dans les budgets 2020-2021 et 2021-2022. »
13-mai-2021
« Le projet de loi 96 prévoit abolir le Conseil supérieur de la langue française et créer un poste de Commissaire à la langue française. Québec souhaite aussi donner à l’Office québécois de la langue française (OQLF) le pouvoir d’émettre des ordonnances. Le ministre Jolin-Barrette prévoit aussi la création de Francisation Québec, un « point d’accès unique pour les personnes souhaitant recevoir des services d’apprentissage » du français au sein du ministère de l’Immigration. »
13-mai-2021
« Le projet de loi 96 prévoit abolir le Conseil supérieur de la langue française et la création d’un Commissaire à la langue française. Québec souhaite aussi donner à l’Office québécois de la langue française (OQLF) le pouvoir d’émettre des ordonnances. »
Québec présente son projet de loi-La Presse
13-mai-2021
Présentation du projet de loi
« Le projet de loi apporte des précisions et des ajustements aux fonctions et pouvoirs de l’Office québécois de la langue française, notamment ceux à l’égard des plaintes, des dénonciations, des inspections et des enquêtes, et lui confère le pouvoir de rendre des ordonnances visant à mettre fin à certains manquements à la Charte de la langue française. »
18-févr.-2021
« Le Parti québécois veut « fixer des attentes » en matière de protection du français, alors que la réforme « costaude » promise par Québec se fait attendre »
Le PQ veut devancer Québec-La Presse
11-oct.-2020
« Le Bloc québécois, le Nouveau Parti démocratique et, plus récemment, le Parti conservateur ont tous manifesté leur accord avec l’intention du gouvernement du Québec d’assujettir les entreprises de juridiction fédérale — comme les banques ou VIA Rail — à la Loi 101. […] Cet aspect doit notamment se retrouver dans le plan d’action à venir du ministre responsable de la Langue française au Québec, Simon Jolin-Barrette, visant à renforcer la position du français dans la Belle Province. »
21-sept.-2020
« Une nouvelle équipe de 20 personnes sera également affectée à la francisation des entreprises de 50 employés et moins. […] Québec ajoute 11 postes pour « accroître les efforts de protection de la langue française » en faisant notamment doubler le nombre d’inspecteurs qui vérifient si les dispositions de la loi 101 sont respectées. […] Simon Jolin-Barrette a plusieurs fois répété ces dernières semaines qu’il préparait un plan « costaud » de protection de la langue française. Ce plan devrait être déposé au cours « des prochaines semaines », a-t-il affirmé lundi. »
Cinquante nouveaux postes, deux fois plus d'inspecteurs-La Presse
18-août-2020
« Le gouvernement Legault veut assujettir à la loi 101 les entreprises sous compétences fédérales présentes au Québec dans un plan « costaud » de protection du français qui sera déposé dans les prochaines semaines. »
12-août-2020
« Le gouvernement de la Coalition avenir Québec a un plan pour promouvoir, valoriser et protéger la langue française au Québec, mais il refuse de dire quand il le présentera. »
11-août-2020
« L’Office québécois de la langue française présente les résultats de l’Enquête sur les exigences linguistiques auprès des entreprises, des municipalités et des arrondissements de Montréal, réalisée par l’Institut de la statistique du Québec. Cette enquête se penche sur les exigences en matière de langue formulées par les employeurs québécois lors d’un processus d’embauche. »
26-févr.-2020
« Le gouvernement Legault envisage d’assujettir les entreprises de 25 à 49 employés à la loi 101, sans toutefois leur imposer les mêmes exigences qu’aux plus grandes sociétés. »
Loi 101: vers de nouvelles exigences pour des PME-La Presse
04-oct.-2019
« Québec cherche le moyen d’interdire la formule «Bonjour-Hi!» pour faire en sorte que le français soit la seule langue d’accueil dans les commerces et les services publics. »
16-avr.-2019
« Elle s’est montrée inquiète de constater une diminution du budget consacré à l’Office de la langue française, au moment où le gouvernement engrange des milliards de surplus dans ses coffres. La diminution est marginale (de 24,2 millions en 2018-2019 à 24,0 millions en 2019-2020), mais en tenant compte de l’augmentation des coûts de système, cela se traduira nécessairement par des compressions et des postes vacants non comblés, selon elle. »
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